Vous cochez les cases, mais ça sonne faux ?
Physiquement présent, le cœur ailleurs.
Vous réussissez, on vous reconnaît, les objectifs sont atteints. Mais quelque chose manque. Un décalage entre ce que vous faites et ce qui vous anime vraiment.
Et si c'était le moment d'aller plus loin ?
Le point de départ
Marc, 43 ans, manager de projet dans un grand groupe.
Compétences solides, bonnes relations avec son manager et ses collègues. Résultats au rendez-vous.
Pourtant, quelque chose clochait : il se sentait illégitime.
Ce qui se passait vraiment
Ce n'était pas son domaine d'expertise initial, alors Marc évitait les confrontations avec des partenaires externes.
Il craignait de ne pas être à la hauteur, d'être "découvert".
Malgré ses réussites objectives, il portait un poids invisible : le syndrome de l'imposteur et une incapacité à se projeter dans l'avenir.
Il avançait sans conviction, avec l'impression de ne jamais vraiment appartenir à ce qu'il faisait.
Ce qu'on a exploré ensemble
Au fil des séances, on a creusé les histoires qu'il se racontait sur lui-même :
Le tournant
Lentement, Marc a redécouvert ce qui l'animait profondément : la culture de son entreprise et les valeurs qui l'avaient attiré dès le premier jour.
Un jour, tout s'est éclairé.
Ce n'était pas une ascension hiérarchique qu'il recherchait, mais une contribution différente.
"Je n'ai pas besoin de prouver ma légitimité.
Je veux contribuer selon ce qui compte pour moi."
Ce que ça a changé
Marc a quitté nos séances avec une vision claire : il allait aligner ses actions avec ce qui comptait pour lui.
Contribuer à des projets porteurs de sens, comme le sponsoring d'initiatives alignées sur les valeurs qu'il admirait tant dans son entreprise.
Fini la quête du toujours prouver plus.
Il bâtissait, pas à pas, une nouvelle manière de contribuer, où son expertise, sa sensibilité et ses aspirations se rejoignaient enfin.
5.6/10 : c'est la note moyenne du moral des salariés français (UNSA 2025).
Dans votre équipe :
- 2 personnes sur 10 sont en démoralisation persistante
- 3 sur 10 se disent épuisées
- 4 sur 10 subissent un impact négatif sur leur santé mentale
Pourquoi ?
Majoritairement à cause de 3 illusions :
Marc a réussi à trouver le courage pour traverser cette tempête.
Et vous, il vous ressemble comment votre travail ?
Une question ? Un projet ? Une envie de voir si ça matche ?